Une détérioration du cadre de vie
 La route ne détruirait pas seulement le cadre de vie des habitants du quartier du Culot, ou de ceux du Bois de Roux (à Gastuche) dont les maisons sont toutes proches du tracé routier. Elle entraînerait des nuisances pour tous les riverains de la chaussée de Louvain, les habitants de Basse-Wavre et ceux de Gastuche, ou les amoureux de cette zone : promeneurs, joggeurs, agriculteurs….Les nuisances seraient considérables : Pollution, bruit, stress lié à la densification du trafic, clôture de l’espace… 
·        Augmentations sonores"Des augmentations importantes des niveaux sonores (plus de 10 décibels) par rapport à la situation existante auront lieu de manière logique au niveau de la chaussée du Culot et de la chaussée du bois de Laurensart (récepteurs R14 à R19) où le contexte sonore actuel est très calme. Dès lors, même si les valeurs guides considérées dans la présente étude sont respectées, le bruit routier généré par le projet sera très clairement perceptible en période jour et nuit... Au niveau de la chaussée de Louvain, les augmentations des niveaux sonores avoisinent les 5 décibels, ce qui signifie que le bruit lié au trafic spécifique au projet sera perceptible par les habitants".   Clôture de l'espace« Pour les usagers piétons du sentier de grande randonnée, le cadre paysager sera dévalorisé en raison de la traversée obligatoire du contournement et de son emprise importante dans le paysage. Aucun aménagement n’étant prévu pour le passage du sentier en son tracé actuel, les usagers se verront contraints d’emprunter le pont-poutre n°1 à quelques dizaines de mètres de là. Le sentiment de sécurité et de quiétude, quoique déjà diminué à proximité de la chaussée d’Ottenbourg, sera certainement encore diminué au moment du croisement du sentier avec le tracé. (Étude d'incidences p.175) Densification des zonings"Sur la N258 et au PAE de Wavre Nord, il est tout à fait probable qu’une densification de l’activité économique se fasse. Elle aura une incidence sur la densité de l’urbanisation et de l’occupation du sol, qui seront modifiées, ainsique dans d’autres domaines de l’environnement tels que la mobilité, la qualité de l’air, le milieu biologique, … » (Étude d'incidence p.190)